Rien ne m’atterre plus que de voir, partout où que j’aille, ces essaims de fausses blondes homogénéisées qui adhérent pleinement aux opinions de la mode. De ce qui n’était que beauté grave, si orientale, les femmes ont fait une parade cosmétique, un carnaval ridicule. Et il Cavaliere bouffon qui se campe en vicaire du Créateur chargé de rénovations, donne hélas une représentation politique à cette célébration de la fausseté, de la comédie, de l’imposture.